Nous voulons répondre ici aux questions ou critiques sur les versets bibliques les plus souvent rapportés comme absurdes ou choquants.
Nous restons à votre écoute pour d’autres versets et d’autres réponses.
« Si l’on te frappe sur une joue, tends l’autre » (Mat 5,39)
Cette expression est souvent très mal comprise, et demande des explications.
Disons ici, pour faire simple, que le Seigneur nous demande de ne pas rendre le mal pour le mal, mais d’y répondre autrement (l’autre joue). Quand Jésus, lors de son procès, fut giflé par un garde, il le questionna plutôt sur son geste (Jn 18,22). « Sois vainqueur du mal par le bien. » (Prov 25,21-22, repris par Paul en Rom 12,19-21)
Mais ceci n’exclut nullement la justice, voire la légitime défense ou violence pour défendre sa vie et celle d’autrui.
« Mes ennemis, égorgez-les devant moi. » (Lc 19,27)
Il s’agit ici de la conclusion d’une parabole de Jésus, et non d’un précepte évangélique. Comment imaginer une telle aberration chez Jésus !? Oui, Jésus avait du sang sur les mains, mais c’était le sien, dans sa crucifixion !
Ceux qui invoquent ce verset pour justifier une autre religion, avec son prophète et son livre soi-disant révélé, ceux-là sont d’une totale malhonnêteté. (Voir ici Les versets violents du Coran )
Dans cette parabole et sa finale, Jésus s’inspire des mœurs de l’époque.
Mais on peut aussi penser qu’il annonce prophétiquement la prise de Jérusalem en l’an 70 par les romains, qui massacrèrent ou déportèrent les Juifs rebelles. (Les chrétiens en réchappèrent, car Jésus les avait prévenus et enjoints de quitter la ville… 40 ans à l’avance ! Lc 21,20)
« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive » (Mt 26,52)
NON, Jésus n’a jamais demandé de conquérir le monde par le glaive (…comme c’est le cas de certaines religions ou idéologies.) Le Christ nous prévient ici que son appel provoquera des divisions d’avec ceux qui le rejettent (glaive = tranchant = division). Jusque dans les familles. Et jusqu’aux persécutions en tous genres tout au long de l’histoire.
Mais JAMAIS Jésus n’aura préconisé ni même provoqué la division et la haine. Au contraire, il l’a prise sur lui dans sa passion. Et il a demandé d’aimer nos ennemis. Et à Pierre qui venait de frapper un de ceux qui venaient arrêter Jésus : « Rengaine ton glaive. Qui tire le glaive périra par le glaive. » (Mat 26,52)
« Aimez vos ennemis »
Jésus ne nous demande pas d’embrasser nos ennemis ! Mais plutôt de leur vouloir du bien. (Ce qui peut être surhumain !) Jusqu’à travailler à leur conversion. (Avec bien sûr notre prière dans ce sens.)
L’histoire chrétienne, y compris aujourd’hui, regorge de ces cas où les chrétiens, dans la puissance du Seigneur, ont retourné les ‘méchants’ en sa faveur.
Le plus célèbre de ceux-ci est la conversion de Paul (ou Saul) sur le chemin de Damas (voir par ex. ici). Paul qui est devenu ensuite le plus grand apôtre du christianisme des origines. (Non, ce n’est pas une légende ! Ses épitres et ses voyages apostoliques et sont parfaitement authentifiés par les historiens.)
Cependant, « l’amour de nos ennemis » ne supprime pas le droit de les poursuivre en Justice. (…Pour autant que la Justice humaine est fiable !)
Et bien évidemment, nous avons le droit de légitime défense dans pareille situation. Nous avons même le devoir de combattre nos ennemis pour protéger nos bien-aimés ou notre patrie. Sans quoi, ce serait le chaos généralisé.
« Femmes, soyez soumises à votre mari. » (Éph 5,22 ; Col 3,18)
Rien à voir ici à la soumission à un pouvoir despotique. Cette soumission doit s’entendre dans la relation fraternelle (« Maris, aimez votre femme. » Éph 5,25 ; Col 3,19), dans la recherche de la concorde et le respect des institutions. Notons comment l’apôtre Paul insiste, et même ordonne aux maris, dans les 2 textes d’Éph et de Col, de respecter et d’aimer leur femme …comme leur propre corps !
Paul affirme clairement que l’autorité doit être au service de la communion et de l’édification de la communauté. L’autorité de l’homme dans le Christ devient un service, dans le don de soi. (Tel le bon berger capable de se sacrifier pour ses brebis : Jn 10,15) Alors que l’autorité de l’homme sans le Christ est vite dévoyée par le péché, et devient domination.
Et n’oublions pas que dans le fameux texte incriminé de Éph 5, Paul commence à dire : « Soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte de Dieu. » (Éph 5,21) Cela doit concerner autant les hommes que les femmes. Par exemple d’assurer un service pour soulager son conjoint dans le besoin.
« Si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur, à vous non plus votre Père ne pardonnera vos fautes. »
Ce précepte ne s’applique pas à la Justice civile, sans laquelle nos sociétés seraient livrées au chaos. (Quoique cette « Justice » civile est trop souvent défaillante !)
Ce précepte évangélique concerne nos relations interpersonnelles, et demande de ne pas se lancer dans des procès d’intention ou des règlements de comptes.
NB. Pour ce qui est des jihadistes-terroristes criminels, autant ils doivent être neutralisés voire éliminés par tous les moyens, autant leur réelle culpabilité est difficile à évaluer, tant ils ont été idéologiquement formatés et drogués par l’islam(isme). Des islamistes repentis témoignent de cela, et comment ils ont été ‘biberonnés’ à l’idéologie depuis leur tendre enfance. Seul Dieu pourra donc vraiment juger les islamistes-jihadistes. Mais nul besoin de Dieu pour JUGER l’islam qui les a fanatisés. Là, nous ne jugeons plus des personnes, mais un système totalitaire et sanguinaire. (Voir ici Les versets violents du Coran.)
« Sans moi, vous ne pouvez rien faire. » (Jn 15,5)
Non, Jésus n’est pas un fou-mégalo en disant cela ; il est tellement plus sage que nous.
Bien-sûr que nous pouvons faire beaucoup de choses sans Lui : planter des carottes (qui vont pousser) ; jusqu’à gagner plein de pognon et de pouvoir. (Ce qui se fait le plus souvent sans Jésus… Mais à quel prix ?)
Le RIEN faire dont parle Jésus signifie que tout ce que nous faisons sans lui (au mépris de l’amour et de la vérité), ce n’est finalement que de la fumée, médiocre et sans avenir, mais au pire toxique pour l’humanité.
Cela se vérifie depuis la nuit des temps, surtout aujourd’hui dans notre humanité devenue folle et suicidaire dans ses prétentions et ses idéologies : Nouvel Ordre Mondial, transhumanisme, wokisme, etc.
Oui, sans la boussole du Christ – Chemin, Vérité, Vie –, donc sans sa lumière et son secours dans notre monde pervers et dépravé, l’humanité court à sa perte.
Cependant, dans cette humanité se trouvent beaucoup d’hommes de bonne volonté, qui partagent les valeurs évangéliques (plus ou moins certes), même s’ils ne sont ni chrétiens, ni même croyants. Laissons notre Seigneur en juger, « lui qui veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Tim 2,4)
On pourrait interpréter de cette façon la « foule immense, de toute nation, tribu, langue, peuple, debout devant l’Agneau (= le Christ) » dans la vision de l’Apoc 7,9. À savoir que tous ces élus sont eux aussi sauvés dans le Christ et son sang, même s’ils ne font pas partie des 144.000 marqués au front du sceau de l’Agneau, à savoir le baptême.
Nous voulons répondre ici aux questions ou critiques sur les versets bibliques les plus souvent rapportés comme absurdes ou choquants.
Nous restons à votre écoute pour d’autres versets et d’autres réponses.
« Si l’on te frappe sur une joue, tends l’autre » (Mat 5,39)
Cette expression est souvent très mal comprise, et demande des explications.
Disons ici, pour faire simple, que le Seigneur nous demande de ne pas rendre le mal pour le mal, mais d’y répondre autrement (l’autre joue). Quand Jésus, lors de son procès, fut giflé par un garde, il le questionna plutôt sur son geste (Jn 18,22). « Sois vainqueur du mal par le bien. » (Prov 25,21-22, repris par Paul en Rom 12,19-21)
Mais ceci n’exclut nullement la justice, voire la légitime défense ou violence pour défendre sa vie et celle d’autrui.
« Mes ennemis, égorgez-les devant moi. » (Lc 19,27)
Il s’agit ici de la conclusion d’une parabole de Jésus, et non d’un précepte évangélique. Comment imaginer une telle aberration chez Jésus !? Oui, Jésus avait du sang sur les mains, mais c’était le sien, dans sa crucifixion !
Ceux qui invoquent ce verset pour justifier une autre religion, avec son prophète et son livre soi-disant révélé, ceux-là sont d’une totale malhonnêteté. (Voir ici Les versets violents du Coran )
Dans cette parabole et sa finale, Jésus s’inspire des mœurs de l’époque.
Mais on peut aussi penser qu’il annonce prophétiquement la prise de Jérusalem en l’an 70 par les romains, qui massacrèrent ou déportèrent les Juifs rebelles. (Les chrétiens en réchappèrent, car Jésus les avait prévenus et enjoints de quitter la ville… 40 ans à l’avance ! Lc 21,20)
Voir Jésus, comme Mahomet, serait pour l’égorgement ?
Nous trouvons un cas semblable en Mat 22,7. Jésus nous y présente la parabole d’un roi qui invite au festin des noces de son fils (= Dieu qui invite à la nouvelle Alliance en son Fils). Face au refus des invités (Israël), dont certains tuèrent même les envoyés du roi, « le roi se mit en colère ; il envoya ses troupes, fit périr les assassins et incendia leur ville. » Comment ne pas voir ici la prophétie de Jésus à son peuple Israël qui refusera de le reconnaître comme son Sauveur, et qui finit par se rebeller contre les Romains, et être anéanti par eux ?
« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive » (Mt 26,52)
NON, Jésus n’a jamais demandé de conquérir le monde par le glaive (…comme c’est le cas de certaines religions ou idéologies.) Le Christ nous prévient ici que son appel provoquera des divisions d’avec ceux qui le rejettent (glaive = tranchant = division). Jusque dans les familles. Et jusqu’aux persécutions en tous genres tout au long de l’histoire.
Mais JAMAIS Jésus n’aura préconisé ni même provoqué la division et la haine. Au contraire, il l’a prise sur lui dans sa passion. Et il a demandé d’aimer nos ennemis. Et à Pierre qui venait de frapper un de ceux qui venaient arrêter Jésus : « Rengaine ton glaive. Qui tire le glaive périra par le glaive. » (Mat 26,52)
« Aimez vos ennemis »
Jésus ne nous demande pas d’embrasser nos ennemis ! Mais plutôt de leur vouloir du bien. (Ce qui peut être surhumain !) Jusqu’à travailler à leur conversion. (Avec bien sûr notre prière dans ce sens.)
L’histoire chrétienne, y compris aujourd’hui, regorge de ces cas où les chrétiens, dans la puissance du Seigneur, ont retourné les ‘méchants’ en sa faveur.
Le plus célèbre de ceux-ci est la conversion de Paul (ou Saul) sur le chemin de Damas (voir par ex. ici). Paul qui est devenu ensuite le plus grand apôtre du christianisme des origines. (Non, ce n’est pas une légende ! Ses épitres et ses voyages apostoliques sont parfaitement authentifiés par les historiens.)
Cependant, « l’amour de nos ennemis » ne supprime pas le droit de les poursuivre en Justice. (…Pour autant que la Justice humaine soit fiable !)
Et bien évidemment, nous avons le droit de légitime défense dans pareille situation. Nous avons même le devoir de combattre nos ennemis pour protéger nos bien-aimés ou notre patrie. Sans quoi, ce serait le chaos généralisé.
« Femmes, soyez soumises à votre mari. » (Éph 5,22 ; Col 3,18)
Rien à voir ici à la soumission à un pouvoir despotique. Cette soumission doit s’entendre dans la relation fraternelle (« Maris, aimez votre femme. » Éph 5,25 ; Col 3,19), dans la recherche de la concorde et le respect des institutions. Notons comment l’apôtre Paul insiste, et même ordonne aux maris, dans les 2 textes d’Éph et de Col, de respecter et d’aimer leur femme …comme leur propre corps !
Paul affirme clairement que l’autorité doit être au service de la communion et de l’édification de la communauté. L’autorité de l’homme dans le Christ devient un service, dans le don de soi. (Tel le bon berger capable de se sacrifier pour ses brebis : Jn 10,15) Alors que l’autorité de l’homme sans le Christ est vite dévoyée par le péché, et devient domination.
Et n’oublions pas que dans le fameux texte incriminé de Éph 5, Paul commence à dire : « Soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte de Dieu. » (Éph 5,21) Cela doit concerner autant les hommes que les femmes. Par exemple d’assurer un service pour soulager son conjoint dans le besoin.
« Si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur, à vous non plus votre Père ne pardonnera vos fautes. »
Ce précepte ne s’applique pas à la Justice civile, sans laquelle nos sociétés seraient livrées au chaos. (Quoique cette « Justice » civile est trop souvent défaillante !)
Ce précepte évangélique concerne nos relations interpersonnelles, et demande de ne pas se lancer dans des procès d’intention ou des règlements de comptes.
NB. Pour ce qui est des jihadistes-terroristes criminels, autant il doivent être neutralisés voire éliminés par tous les moyens, autant leur réelle culpabilité est difficile à évaluer, tant ils ont été idéologiquement formatés et drogués par l’islam(isme). Des islamistes repentis témoignent de cela, et comment ils ont été ‘biberonnés’ à l’idéologie depuis leur tendre enfance. Seul Dieu pourra donc vraiment juger les islamistes-jihadistes. Mais nul besoin de Dieu pour JUGER l’islam qui les a fanatisés. Là, nous ne jugeons plus des personnes, mais un système totalitaire et sanguinaire. (Voir ici Les versets violents du Coran.)
« Sans moi, vous ne pouvez rien faire. » (Jn 15,5)
Non, Jésus n’est pas un fou-mégalo en disant cela ; il est tellement plus sage que nous.
Bien-sûr que nous pouvons faire beaucoup de choses sans Lui : planter des carottes (qui vont pousser) ; jusqu’à gagner plein de pognon et de pouvoir. (Ce qui se fait le plus souvent sans Jésus… Mais à quel prix ?)
Le RIEN faire dont parle Jésus signifie que tout ce que nous faisons sans lui (au mépris de l’amour et de la vérité), ce n’est finalement que de la fumée, médiocre et sans avenir, mais au pire toxique pour l’humanité.
Cela se vérifie depuis la nuit des temps, surtout aujourd’hui dans notre humanité devenue folle et suicidaire dans ses prétentions et ses idéologies : Nouvel Ordre Mondial, transhumanisme, wohisme, etc.
Oui, sans la boussole du Christ – Chemin, Vérité, Vie –, donc sans sa lumière et son secours dans notre monde pervers et dépravé, l’humanité court à sa perte.
Nous voulons répondre ici aux questions ou critiques sur les versets bibliques les plus souvent rapportés comme absurdes ou choquants.
Nous restons à votre écoute pour d’autres versets et d’autres réponses.
« Si l’on te frappe sur une joue, tends l’autre » (Mat 5,39)
Cette expression est souvent très mal comprise, et demande des explications.
Disons ici, pour faire simple, que le Seigneur nous demande de ne pas rendre le mal pour le mal, mais d’y répondre autrement (l’autre joue). Quand Jésus, lors de son procès, fut giflé par un garde, il le questionna plutôt sur son geste (Jn 18,22). « Sois vainqueur du mal par le bien. » (Prov 25,21-22, repris par Paul en Rom 12,19-21)
Mais ceci n’exclut nullement la justice, voire la légitime défense ou violence pour défendre sa vie et celle d’autrui.
« Mes ennemis, égorgez-les devant moi. » (Lc 19,27)
Il s’agit ici de la conclusion d’une parabole de Jésus, et non d’un précepte évangélique. Comment imaginer une telle aberration chez Jésus !? Oui, Jésus avait du sang sur les mains, mais c’était le sien, dans sa crucifixion !
Ceux qui invoquent ce verset pour justifier une autre religion, avec son prophète et son livre soi-disant révélé, ceux-là sont d’une totale malhonnêteté. (Voir ici Les versets violents du Coran )
Dans cette parabole et sa finale, Jésus s’inspire des mœurs de l’époque.
Mais on peut aussi penser qu’il annonce prophétiquement la prise de Jérusalem en l’an 70 par les romains, qui massacrèrent ou déportèrent les Juifs rebelles. (Les chrétiens en réchappèrent, car Jésus les avait prévenus et enjoints de quitter la ville… 40 ans à l’avance ! Lc 21,20)
Voir Jésus, comme Mahomet, serait pour l’égorgement ?
Nous trouvons un cas semblable en Mat 22,7. Jésus nous y présente la parabole d’un roi qui invite au festin des noces de son fils (= Dieu qui invite à la nouvelle Alliance en son Fils). Face au refus des invités (Israël), dont certains tuèrent même les envoyés du roi, « le roi se mit en colère ; il envoya ses troupes, fit périr les assassins et incendia leur ville. » Comment ne pas voir ici la prophétie de Jésus à son peuple Israël qui refusera de le reconnaître comme son Sauveur, et qui finit par se rebeller contre les Romains, et être anéanti par eux ?
« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive » (Mt 26,52)
NON, Jésus n’a jamais demandé de conquérir le monde par le glaive (…comme c’est le cas de certaines religions ou idéologies.) Le Christ nous prévient ici que son appel provoquera des divisions d’avec ceux qui le rejettent (glaive = tranchant = division). Jusque dans les familles. Et jusqu’aux persécutions en tous genres tout au long de l’histoire.
Mais JAMAIS Jésus n’aura préconisé ni même provoqué la division et la haine. Au contraire, il l’a prise sur lui dans sa passion. Et il a demandé d’aimer nos ennemis. Et à Pierre qui venait de frapper un de ceux qui venaient arrêter Jésus : « Rengaine ton glaive. Qui tire le glaive périra par le glaive. » (Mat 26,52)
« Aimez vos ennemis »
Jésus ne nous demande pas d’embrasser nos ennemis ! Mais plutôt de leur vouloir du bien. (Ce qui peut être surhumain !) Jusqu’à travailler à leur conversion. (Avec bien sûr notre prière dans ce sens.)
L’histoire chrétienne, y compris aujourd’hui, regorge de ces cas où les chrétiens, dans la puissance du Seigneur, ont retourné les ‘méchants’ en sa faveur.
Le plus célèbre de ceux-ci est la conversion de Paul (ou Saul) sur le chemin de Damas (voir par ex. ici). Paul qui est devenu ensuite le plus grand apôtre du christianisme des origines. (Non, ce n’est pas une légende ! Ses épitres et ses voyages apostoliques sont parfaitement authentifiés par les historiens.)
Cependant, « l’amour de nos ennemis » ne supprime pas le droit de les poursuivre en Justice. (…Pour autant que la Justice humaine soit fiable !)
Et bien évidemment, nous avons le droit de légitime défense dans pareille situation. Nous avons même le devoir de combattre nos ennemis pour protéger nos bien-aimés ou notre patrie. Sans quoi, ce serait le chaos généralisé.
« Femmes, soyez soumises à votre mari. » (Éph 5,22 ; Col 3,18)
Rien à voir ici à la soumission à un pouvoir despotique. Cette soumission doit s’entendre dans la relation fraternelle (« Maris, aimez votre femme. » Éph 5,25 ; Col 3,19), dans la recherche de la concorde et le respect des institutions. Notons comment l’apôtre Paul insiste, et même ordonne aux maris, dans les 2 textes d’Éph et de Col, de respecter et d’aimer leur femme …comme leur propre corps !
Paul affirme clairement que l’autorité doit être au service de la communion et de l’édification de la communauté. L’autorité de l’homme dans le Christ devient un service, dans le don de soi. (Tel le bon berger capable de se sacrifier pour ses brebis : Jn 10,15) Alors que l’autorité de l’homme sans le Christ est vite dévoyée par le péché, et devient domination.
Et n’oublions pas que dans le fameux texte incriminé de Éph 5, Paul commence à dire : « Soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte de Dieu. » (Éph 5,21) Cela doit concerner autant les hommes que les femmes. Par exemple d’assurer un service pour soulager son conjoint dans le besoin.
« Si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur, à vous non plus votre Père ne pardonnera vos fautes. »
Ce précepte ne s’applique pas à la Justice civile, sans laquelle nos sociétés seraient livrées au chaos. (Quoique cette « Justice » civile est trop souvent défaillante !)
Ce précepte évangélique concerne nos relations interpersonnelles, et demande de ne pas se lancer dans des procès d’intention ou des règlements de comptes.
NB. Pour ce qui est des jihadistes-terroristes criminels, autant il doivent être neutralisés voire éliminés par tous les moyens, autant leur réelle culpabilité est difficile à évaluer, tant ils ont été idéologiquement formatés et drogués par l’islam(isme). Des islamistes repentis témoignent de cela, et comment ils ont été ‘biberonnés’ à l’idéologie depuis leur tendre enfance. Seul Dieu pourra donc vraiment juger les islamistes-jihadistes. Mais nul besoin de Dieu pour JUGER l’islam qui les a fanatisés. Là, nous ne jugeons plus des personnes, mais un système totalitaire et sanguinaire. (Voir ici Les versets violents du Coran.)
« Sans moi, vous ne pouvez rien faire. » (Jn 15,5)
Non, Jésus n’est pas un fou-mégalo en disant cela ; il est tellement plus sage que nous.
Bien-sûr que nous pouvons faire beaucoup de choses sans Lui : planter des carottes (qui vont pousser) ; jusqu’à gagner plein de pognon et de pouvoir. (Ce qui se fait le plus souvent sans Jésus… Mais à quel prix ?)
Le RIEN faire dont parle Jésus signifie que tout ce que nous faisons sans lui (au mépris de l’amour et de la vérité), ce n’est finalement que de la fumée, médiocre et sans avenir, mais au pire toxique pour l’humanité.
Cela se vérifie depuis la nuit des temps, surtout aujourd’hui dans notre humanité devenue folle et suicidaire dans ses prétentions et ses idéologies : Nouvel Ordre Mondial, transhumanisme, wohisme, etc.
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