UNIQUE dans l’histoire ?

Que l’on soit pour ou contre lui, Jésus Christ est la personne la plus célèbre de l’histoire, qui se décline en « avant » et « après » sa naissance.

Cela ne tient pas seulement à l’arbitraire d’une religion qui se serait imposée avec son calendrierCar Jésus Christ est vraiment UNIQUE dans l’histoire de l’humanité, qu’il a révolutionnée par sa personnalité et son enseignement, ainsi que son sacrifice, unique lui aussi, et surtout sa RÉSURRECTION, que l’histoire ne parvient pas à nier. (cf. Le Jésus de l’HISTOIRE et  Vraiment RESSUSCITÉ ?) Il fut enfin la Source du christianisme, lequel a révolutionné le monde – n’ayons pas peur de le dire. (cf. Le GÉNIE du christianisme) 5.4

 

Résumons ici les points essentiels qui rendent le Christ unique au monde. (Voir notamment la magistrale synthèse de Mgr A. Léonard)

1/ Jésus fut annoncé par des dizaines (voire centaines) de PROPHÉTIES des siècles avant lui. Aucun homme ne fut autant annoncé que le Christ. C’est là un phénomène unique dans l’histoire. Ces prophéties sont aussi étonnantes par leur précision que par leur réalisation, qui excluent toute manipulation ou coïncidence. De telle sorte que l’évidence d’un ‘Plan’ surnaturel  s’impose, ou au moins pose une énorme question : « Qui est-il donc, celui-là ? » (Mc 4,41) (cf. Les prophéties et leur accomplissement ; et aussi sur une attente unique au monde)

2/  Son ENSEIGNEMENT a transformé la pensée et la culture mondiales. Et développa des trésors d’humanisme au service de tous les hommes (cf. Le GÉNIE du christianisme)

— Tout ce qu’il a annoncé s’est réalisé, et sa Parole éclaire le monde entier : « Je suis la Lumière du monde » (Jn 8,12) « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. » (Mt 24,35). Paroles d’un fou mégalomane ? Impossible — car elles sont toujours d’une puissante et performante actualité aujourd’hui, notamment dans ses miracles toujours actuels ! (Voir Ces MIRACLES qui défient la science)

– Sa Parole et sa vie portent des fruits de sainteté partout dans le monde depuis 2000 ans.

— Sa loi évangélique fondée sur la charité, la miséricorde, le pardon, l’humilité, l’universelle dignité de tout homme, le don de soi, la paix, la joie… est tout à la fois profondément humaine, spirituelle, et universelle, offerte à tous les horizons de l’humanité, sans discrimination aucune.

– Enfin sa suprématie : « Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie » (Jn 14,6). Jésus Christ demande d’être le premier dans notre vie, préféré à tout et tous, même à notre propre vie (Mt 16,24 s. etc.) Quel homme peut se permettre ça ? – Serait-il un monstre despotique !? – Impossible, car il a librement accepté la plus horrible et humiliante mort sur la croix pour démontrer l’absolue véracité de ses paroles et de son amour. (Et qu’il est bien la Résurrection !)

3/ Sa suprême AUTORITÉ : « Les foules étaient frappées par son enseignement » (Mt 7,28). Il connaissait parfaitement le cœur de l’homme (Lc 6,8 etc.) et déjouait tous les pièges contre lui (ex. Mt 22,15 ; Jn 8,1).

4/ Mais surtout – ô scandale ! — il « se faisait l’égal de Dieu » (Jn 5,18 et 10,33) et agissait comme tel (pardon des péchés, etc.), au point d’être traité de blasphémateur (voir Vraiment DIEU ?). Cette suprême revendication fut bien-sûr attestée par ses miracles… En cela, personne ne pourra le tenir pour un fou mégalomane.

5/  Ses MIRACLES : ceux-ci furent aussi innombrables que puissants (et ne se limitent pas à ceux rapportés dans les évangiles : voir Jn 21,12). Cela est sans pareil dans l’histoire. Ces miracles sont quasi impossibles à nier, car sans cette démonstration de son autorité, Jésus n’aurait pu survivre trois jours face à ses accusateurs, tant ses paroles et son comportement les choquaient. (Il fut plusieurs fois menacé de lynchage ou de lapidation ; toutefois, Jésus n’a jamais voulu s’imposer par ses miracles ; cf. Mt 4,5s ; 13,58 etc.)

Les miracles du Christ sont quasi impossibles à nier il y a 2000 ans. Car c’est en vertu de ses miracles et prodiges que le christianisme put se répandre contre vents et marées dans le monde païen. (Cf. Actes 2,19 ; 2,22 ; 2,43 ; 4,30 ; 5,12 ; 6,8 ; 8,6 ; 8,13 ;  14,3 ; 15,12, Héb 2,4, etc.)

Et ces miracles se perpétuent jusqu’à nos jours, dûment analysés et reconnus par la science. (Voir Ces MIRACLES qui défient la science)

6/  Sa MORT et son SACRIFICE : Jésus est bien le seul homme au monde qui a marché en toute lucidité et liberté vers sa torture et sa mort. (Non sans angoisse : Jn 13,21 ; jusqu’à suer du sang : Lc 22,44). C’était le but de sa mission, son « heure » (Jn 2,4), son Œuvre : l’offrande totale de sa vie dans les pires conditions !Connaît-on, dans l’histoire humaine, un autre homme qui a marché ainsi vers ce genre de mort et une telle offrande de sa vie ? Non, pour la simple raison que tout homme censé fera tout pour échapper à une mort abominable (ne fût-ce que par le suicide). Mais pour Jésus, c’était là sa principale « œuvre » et le sommet de sa mission : son sacrifice sur la croix. Il n’empêche que jusqu’au bout, il fut tenté de s’y dérober (Lc 22,42)

Il faut rajouter ici un impondérable, qui est néanmoins certain : Jésus, avant et pendant sa passion, a souffert infiniment plus que tous les hommes – non seulement dans son corps, mais surtout dans son âme. Car il a porté et enduré en sa personne TOUT LE POIDS de la souffrance et du péché des hommes. Plus que quiconque, il pouvait dire en son agonie à Gethsémani : « Mon âme est triste à en mourir. » (Mat 26,38) – Au point que sa sueur en fut mêlée de sang (phénomène observé dans des cas d’extrême agonie).

Enfin, quel homme autre que Jésus a-t-il prié pour ses bourreaux en pleine torture (crucifiement) : « Père, pardonneleurcar ils ne savent ce quils font. » (Luc 23,34) …En sorte que le centurion de garde s’écria, à la mort de Jésus en croix : « Vraiment, cet homme était fils de Dieu. » (Mat 27,54)

7/  Sa RÉSURRECTION : Sans celle-ci, le Christ serait enterré dans le panthéon des grands prophètes ou fondateurs de religion qui sont tous bien morts. Jésus Christ, lui, est le seul qui a traversé la mort dans toute l’histoire humaine. Et qui est vivant et agissant dans l’histoire. Toute supercherie ou mythologie est ici historiquement impossible. (cf. Vraiment RESSUSCITÉ ?) Les innombrables miracles opérés en son nom jusqu’à aujourd’hui ne cessent de l’attester, ainsi que le Linceul de Turin.

« Jésus a fait encore bien d’autres choses. Si on les écrivait une à une, le monde entier ne pourrait contenir les livres qu’on écrirait. » (Jn 21,25)

8/ Sa DIVINITÉ : Avec sa résurrection, voilà l’impensable pour les non-chrétiens. Pourtant, tout dans la vie du Christ — ses paroles, ses actes et ses miracles — nous conduit à reconnaître qu’il est Dieu en son Père éternel (tout l’évangile de Jean nous l’atteste : cf. Vraiment DIEU ?)  C’est pour ça que, depuis 2000 ans, tous les chrétiens dans le monde le proclament Dieu Sauveur, et que tant de miracles s’opèrent en son nom.

NIER le Christ, sa résurrection et sa divinité, ou nier qu’il est unique dans l’histoire, c’est facile : il suffit d’en faire un simple mythe. Mais c’est aussi s’enfoncer dans une foule d’invraisemblances ou de mystères : Comment sinon comprendre l’avènement du christianisme qui n’avait aucune chance de réussir dans le monde païen ? Comment comprendre la fécondité de l’Évangile dans ses trésors d’humanisme : universelle dignité de tout homme, fraternité, paix, amour, ainsi que développement de l’esprit et de la raison.  

Jésus Christ est l’unique source et point d’appui de cet immense mouvement spirituel qui a transformé l’humanité dans tous les domaines, y compris le développement des sciences.

« Jésus est l’objet même du christianisme. Jésus n’indique pas seulement un chemin, comme Lao-Tseu, il affirme être lui-même ce chemin ; il n’est pas seulement le porteur d’une vérité, comme n’importe quel prophète, mais se présente comme étant lui-même cette vérité ; il n’ouvre pas seulement une route conduisant à la vie, à la manière des philosophes, il prétend être, dans sa personne concrète, la plénitude même de la vie divine : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jn 14, 6). (A. Léonard)

Jésus est pas un « opium du peuple » (Marx),

mais l’optimum de l’humanité.

Un peu d’histoire éloigne du Christ. Beaucoup d’histoire en rapproche.

Même si la foi chrétienne dépasse la raison,

elle repose sur de très solides raisons.

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