« L’ÉGLISE, supposée défendre le christianisme, capitule joyeusement devant l’islam sous le prétexte de se montrer ouverte, généreuse, inclusive, et trahit ainsi sa foi, son Dieu, au point de renier le Christ pour ne pas froisser la susceptibilité des musulmans. » (cardinal Bruke)
Ces déclarations d’hommes d’Église, et de beaucoup d’autres prélats, prêtres et fidèles catholiques (et même non croyants), ACCUSENT la hiérarchie catholique de COMPLAISANCE, voire de SOUMISSION envers cet islam qui fait la guerre au christianisme depuis 14 siècles.
La volonté du DIALOGUE interreligieux est une initiative de l’Église catholique depuis plus de 50 ans. Que ce soit avec les autres églises ou confessions chrétiennes (œcuménisme), ou avec les autres religions (dialogue interreligieux). (Reconnaissons ici que l’Église a très souvent été en pointe dans la communion fraternelle.)
Il en va ainsi du DIALOGUE ISLAMO-CHRÉTIEN. Celui-ci se réclame du décret conciliaire de Vatican II, Nostra Aetate (n° 2 et 3).
« L’Église regarde avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre [5] (…) Même si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le saint Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu’à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté. » (Nostra Aetate n°3 ; nous soulignons)
UN PSEUDO DIALOGUE
Malheureusement, le dialogue islamo-chrétien est FAUSSÉ, d’où son échec depuis plus de 50 ans. (voir) Car :
>> Le texte conciliaire est très souvent interprété comme une reconnaissance de l’islam, ‘religion parallèle’ au christianisme, un ‘autre chemin de salut’. Nostra Aetate est ambigu sur ce point et se prête à des interprétations opposées au bon sens et à la foi chrétienne. Prétendre que St François d’Assise voulut dialoguer avec le sultan en 1219 est une pure fiction. Il alla le rencontrer pour lui annoncer l’évangile et l’appeler à la conversion.
>> Le dialogue islamo-chrétien est un attrape-nigauds : ce sont toujours les chrétiens, catholiques surtout, qui le pratiquent, jamais les musulmans, qui ne sont jamais demandeurs de dialogue (sinon pour convertir les chrétiens). Ce pseudo dialogue est un monologue fondé sur les compromissions et la duplicité de trop de catholiques qui veulent la fraternité à tout prix – quitte à brader la vérité et leur foi (source). Les rêves du multiculturalisme – dont le mythe d’Al Andalus et d’un islam des lumières – s’avèrent tous des utopies. (Sur Al Andalous, voir ici par ex.)
>> Ce dialogue est truffé de pseudos vérités qui rendent impossible tout dialogue en vérité ; et impossible aussi l’annonce de l’Évangile. Il refoule et occulte toutes les contradictions de l’islam sur nos valeurs humanistes et évangéliques. Car la doctrine et la loi islamiques affichent ouvertement ce que les discours modérés veulent cacher :
>> La supériorité ontologique du musulman sur tout non-musulman.
>> La supériorité et la domination de l’homme sur la femme (pur sexisme ou misogynie : la femme est assujettie à son mari au point de pouvoir être battue par lui : Sour. 4,34 ; elle ne jouit pas des mêmes droits que lui ; le voile lui est imposé – jusqu’aux fillettes — sans quoi elle mérite d’être violée. Et cela continue avec bien des traditions, dont l’excision, etc. Voir ici)
>> La criminalisation au nom du « blasphème » de toute critique du Coran ou du prophète Mahomet.
>> Ni laïcité ni séparation entre le religieux et le politique : l’islam est une religion politique, jusqu’à être totalitaire (à divers degrés selon les pays).
>> Aucune liberté religieuse ni de pensée (le « crime d’apostasie » est passible de mort selon la loi islamique, la charia ; cf. Sour. 4,89). (+ Appel au meurtre face à la croyance en la Trinité : cf. Sour. 9,5)
>> L’imposition de la CHARIA quand l’islam devient dominant (voile islamique, confinement de la femme, abattage et nourriture halal, revendications et irrespect des lois nationales, menaces et violences…).
>> Devoir de dominer le monde par tous les moyens (= jihad culturel, démographique, idéologique, politique, numérique… et guerrier).
>> Zéro droits pour les infidèles : selon la charia, ils n’ont que le droit de se convertir à l’islam ou d’être éliminés ; les juifs et les chrétiens bénéficient néanmoins de la dhimmitude, qui les marginalise et les soumet à un impôt-racket (jizia).
>> La taqiya (dissimulation ou mensonge) et la victimisation sont la première stratégie face aux infidèles, rendant impossible tout pacte social honnête.
>> Refus des droits de l’homme : l’islam ne reconnaît que les droits de l’homme selon la charia. (Ainsi dans les 57 pays de l’OCI.)
Il faut être aveugle ou hypocrite pour ne pas voir que l’islam contient des contradictions flagrantes à l’encontre du christianisme, du véritable humanisme, et des Droits de l’Homme. L’islam est foncièrement totalitaire. « L’islam demande d’obéir, le christianisme demande d’aimer » (source)
Vouloir ‘convertir’ l’islam en un islam « de lumière et de paix », c’est vouloir changer un serpent en chaton à force de le caresser. L’islam est bâti sur l’intolérance, et il n’est pas réformable sous peine de se contredire et de disparaître.
>> JÉSUS ou MAHOMET ? Les deux avaient du sang sur les mains — mais pour Jésus, c’était son propre sang ! À la différence de l’islam, le christianisme s’est répandu dans le sang… de ses martyrs ; il n’avait pas d’autre arme que l’évangile d’amour et de paix. (What else ? Voir le livre Jésus et Mahomet )
>> LES FRUITS du dialogue islamo-chrétien sont quasi inexistants : les chrétiens sont de plus en plus persécutés au nom de l’islam partout dans le monde, et l’islam se radicalise jusqu’en Europe. Alors que les chrétiens sont de plus en plus minoritaires (Europe), et parfaitement inoffensifs. (Combien d’attentats au nom du Christ ?)
>> L’ÉVANGÉLISATION des musulmans est quasi inexistante dans l’Église catholique officielle. (« L’Église ne fait à peu près rien. ») Heureusement qu’il s’y trouve de courageux apôtres, ainsi que l’héroïque témoignage de nos frères catholiques en pays islamiques, ou l’engagement des anciens musulmans ‘apostats’ devenus catholiques.
En revanche, les églises protestantes et surtout évangéliques sont réellement engagées dans cette évangélisation des musulmans, en sorte que la plupart des adeptes de Mahomet reçoivent la foi chrétienne grâce à elles — avec la puissante grâce du Seigneur. Merci à nos frères ‘séparés’ !
>> Bref, « le DIALOGUISME est une caricature de dialogue dont le but est d’afficher des bonnes relations au détriment des vérités qui risquent de déplaire à l’interlocuteur ». C’est ainsi que l’Église est passée à un discours angélique sur l’islam et peine à critiquer fermement les nombreuses dérives intégristes dont certaines prennent source dans le texte même du Coran… C’est le culte des fausses ressemblances. L’Église s’est laissé contaminer par le discours relativiste sur les religions, comme quoi elles seraient similaires, auraient des objectifs similaires, mais des moyens différents pour les atteindre ». (Laurent Dandrieu) (Voir aussi Édouard-Marie Gallez et le Malentendu islamo-chrétien ; voir aussi ici)
Voir également les excellentes vidéos de David Wood (+ ici), Alain Wagner,
abbé Pagès, Majid Oukacha , etc.
LES FAUSSES RESSEMBLANCES
Celles-ci sont habituellement répétées même dans l’Église. Une tendance courante en Europe consiste à appliquer à l’islam le ‘logiciel’ du christianisme.
>> « Nous avons le même Dieu. » Comme si le dieu-Allah, qui demande de tuer les infidèles et même les chrétiens (voir ici), était le Dieu Père et Amour révélé en Jésus Christ !!
>> « Toute religion veut la paix » : cette déclaration est un sommet de relativisme et une projection très ‘politiquement correct’ sur les autres religions — lesquelles peuvent être au contraire fanatiques et sanguinaires. Quel rapport entre l’Évangile et la religion aztèque avec ses sacrifices humains, tout comme avec l’islam et son jihad sanglant ? (Voir Toutes les religions se valent-elles ?)
>> « L’islam est une religion de paix. » C’est là le plus bel attrape-nigaud, censé gommer tous les crimes perpétrés au nom d’Allah et du Coran. La propagande islamique nous martèle que : islam = paix (salam), alors que : islam signifie soumission. On nous ressert la sourate 2 v.256 : « Point de contrainte en religion », alors qu’elle est copieusement contredite par toutes les lois islamiques. Et de même avec la sourate 5 v.32, cette « sublime sourate » qui semble condamner le crime alors qu’il n’en est rien. (voir ici)
Le soufisme, tant invoqué comme « cœur de l’islam », n’est en réalité qu’une variante de l’islam honnie et éradiquée par l’islam officiel depuis 1000 ans.
>> « L’islam prône la miséricorde. » Mais celle-ci n’a rien à voir avec la miséricorde évangélique. La miséricorde coranique n’est réservée qu’au musulman, qui n’est jamais sûr du pardon d’Allah sauf dans le martyr-jihadiste, ou pour qui se convertit à l’islam.
>> « Ça n’a rien à voir avec l’islam. » — « Ce sont des déséquilibrés. » Ces mantras veulent blanchir l’islam de son fanatisme et de ses massacres, mais sont systématiquement contredits par la doctrine officielle islamique, qui proclame haut et fort le jihad sanglant (= Coran + hadiths + charia, dans le sunnisme ou le chiisme). Trop facile d’imputer cela à des ‘déséquilibrés’, ou à nos sociétés occidentales, ou à la misère. Il faut plutôt reconnaître que l’islam fabrique beaucoup de ‘déséquilibrés’ et de violence (voir la psychiatre Wafa Sultan sur ce thème). À l’inverse, il est piquant de constater que « partout où l’islam est absent, le risque jihadiste est inexistant. » (M. Oukacha)
>> « Pas d’amalgame entre islam et islamisme » « Tous les musulmans ne sont pas terroristes. » Certes, heureusement que tous les musulmans ne sont pas terroristes !! Mais peut-on dire avec le pape François : « Assimiler islam et terrorisme est un mensonge ridicule. » (ici et ici). Le « pas d’amalgame » est ici surréaliste, d’autant que les musulmans radicaux ne cessent de clamer leur guerre aux infidèles, et que « l’islam n’est pas une religion de paix » (source). Reste que ceux qui veulent à tout prix exonérer l’islam de ses violences s’enfoncent dans l’utopie d’un islam de paix, qui n’existe que dans leur esprit, ou leur taqiya. Et que les musulmans dits modérés (tant mieux !) ne sont pas les ‘vrais’ et ‘bons’ musulmans aux yeux des radicaux, les vrais observants de la loi islamique.
En revanche, tous les amalgames sont permis contre le christianisme. Que penser de la déclaration du pape François qui met en balance la « violence catholique » et la violence islamique !?
>> « Les musulmans sont les premières victimes. » La victimisation est surtout leur première arme dans nos démocraties, là où l’islam y est au contraire si bien toléré et même protégé par les lois contre l’islamophobie. Mais surtout, les musulmans sont victimes d’abord de leur propre religion et de ses conséquences : obscurantisme, totalitarisme, violences sans fin (avec guerre millénaire entre sunnites et chiites), etc.
>> « Finalement, la Bible est pareille au coran », nous dit-on en brandissant les versets violents de la Bible. (Voir La Bible est-elle VIOLENTE ?) Sauf que le Coran est juste le contraire de l’Évangile : son jihad est exclusivement guerrier et y est omniprésent (voir). Les guerres islamiques sont essentiellement offensives et conquérantes (et non défensives), avec leurs génocides, qui sont la plus tragique preuve de la violence islamique. (Exemple ici ou ici)
« La tendance générale de la théologie islamique va à affirmer Dieu plutôt par la destruction que par la construction des êtres » (de L. Massignon, cité par A. Arbez)
Les versets ‘pacifiques’ du Coran (Sour. 2,256 et 5,32, etc.) sont soit abrogés (loi de l’abrogation : Sour. 2,106), soit manipulés hors contexte (dont la ‘sublime’ Sour. 5,32, qui n’a rien d’une sourate pacifique et humaniste quand on la lit dans son contexte).
>> « Il y a beaucoup de musulmans modérés. Ils n’y sont pour rien.» — Fort heureusement qu’il y a des musulmans modérés !!! Mais cela revient à avouer que l’islam lui-même — et les autres musulmans — ne sont pas modérés !! (Parle-t-on de christianisme ou de chrétiens ‘modérés’ ???) Les musulmans ‘modérés’ suivent plutôt leur conscience au lieu des injonctions coraniques et de la charia. (Dieu merci ! Quoiqu’ils puissent aussi se radicaliser.) Les autres musulmans, les vrais ! observent le Coran et la charia à la lettre. On les appelle « islamistes », alors qu’ils sont tout simplement des musulmans ‘pur jus’. Finalement, quel est le vrai musulman selon vous ? Et le vrai islam ?
« L’expression ‘islam modéré’ est laide (ugly) et offensante. Il n’y a pas d’islam modéré. L’islam est l’islam. » (Recep Erdogan, président de la Turquie, 2007).
De plus, la plupart des musulmans ‘modérés’ se plaignent d’être stigmatisés. Mais que font-ils pour éradiquer l’islam radical !? RIEN !! Ils en deviennent alors complices – et ils démontrent leur impuissance à éradiquer le cancer islamiste.
CAR LA VIOLENCE islamique se trouve dans l’ADN de l’islam et ses sources : le Coran, les hadiths, la sira (vie de Mahomet), la charia, et les commentateurs officiels de l’islam (= les 5 sources officielles). Les vrais connaisseurs et ceux qui ont expérimenté cet islam vous diront que, finalement, même les gentils modérés contribuent à répandre l’islam dans nos sociétés, par leur communautarisme, leurs revendications, leurs plaintes, leurs enfants, et surtout leur soumission aux radicaux (voir ici et ici).
>> « Laissons le temps à l’islam pour se RÉFORMER » ou devenir un islam des lumières, ou de France, etc. Mais doit-on lui laisser encore 50 ans… ou 600 ans (= son ‘retard’ sur le christianisme) pour se réformer ? De plus, cette prétendue ‘réforme’ de l’islam est IMPOSSIBLE. Car cela revient à lui demander de s’ouvrir à la critique du Coran, de ses violences, de son histoire, de ses sources, et de la charia. Cela, l’islam ne le fera JAMAIS sous peine de se SUICIDER ! C’est pourquoi il se radicalise aujourd’hui. (Sur l’impossible réforme de l’islam : ici et ici)
« Toutes les tentatives de réforme en ce sens ont lamentablement échoué depuis plus de dix siècles. En fait, l’islam, ou on L’ACCEPTE tel quel dans la soumission la plus totale, ou on LE QUITTE, comme le martèlent ici plusieurs apostats ; pas de juste milieu. » (source)
SOUMISSION ou APOSTASIE ?
Nos institutions islamophiles, donc aussi catholiques, s’acharnent à ‘convertir’ l’islam en une prétendue religion de PAIX avec la méthode Coué : en le lui répétant indéfiniment. Autant vouloir changer un serpent en chaton à force de le caresser.
La réalité de l’islam s’impose à nous depuis 14 siècles. (Nos frères chrétiens d’Orient le savent bien.) Comment rester sourd à l’histoire, aux avertissements incessants des vrais connaisseurs de l’islam, de ses victimes, et de ses courageux apostats (menacés de mort par la charia) !?
Le vrai scandale est que nos pasteurs refusent d’écouter, de voir et de réagir ! L’histoire retiendra alors que l’Église aura favorisé l’islamisation de nos pays d’Occident comme le firent les ‘idiots utiles’ du communisme, ou les pacifistes face à la montée du nazisme. (L’islam n’a rien à envier à ces deux totalitarismes.)
« Leur attitude est juste irresponsable, suicidaire et même criminelle dans le contexte actuel marqué par l’expansion vertigineuse d’un islam radical exclusiviste et arrogant. C’est comme vivre au pied d’un volcan au bord de l’éruption. » (Boualem Sansal ; nous soulignons)
« Les promoteurs de l’idéologie mondialiste (…), ce sont eux qui utilisent l’islam pour gommer l’identité, la culture, les coutumes, les traditions et les frontières des nations occidentales. Et l’islam qu’ils instrumentalisent et qui les instrumentalise est l’arme de destruction massive qui leur permet d’arriver à leurs fins. » (Hélios d’Alexandrie)
L’Occident et les chrétiens admirateurs de l’islam ne sont-ils pas en pleine soumission à l’islam (dhimmitude) et en pleine apostasie de leurs racines et valeurs chrétiennes ? Et cela sous le fallacieux prétexte du dialogue, de la tolérance, du multiculturalisme, de l’ouverture et du respect des différences. (Le pape Jean Paul II avait eu la vision de cela.)
Et ne TRAHISSENT-ils pas leurs frères chrétiens d’Orient ? (cf. ici et ici ) Oui, nos frères chrétiens persécutés se sentent abandonnés en raison du silence ou de la complicité de leurs frères d’Occident qui accueillent et encensent cet islam qui les persécute.
La TRAHISON ne vient pas des musulmans : ceux-ci appliquent leur religion, vieille de 14 siècles. La TRAHISON vient de ceux qui devraient nous défendre de l’islam : nos dirigeants, y compris religieux, nos instances civiles, politiques, pontificales — et nos médias.
Combien de nouvelles VICTIMES faudra-t-il pour que la chrétienté occidentale ouvre les yeux et réagisse ?
Combien de temps durera l’UTOPIE multiculturaliste et mondialiste, y compris dans l’Église, celle des « printemps qui chantent », où « tout le monde est beau et gentil » ? (Gare à vous si vous ne pensez pas ainsi : vous êtes islamophobe, haineux, fascistes, nazi — à éliminer !)
La complaisance angélique envers l’islam TRAHIT les Occidentaux — mais aussi les MUSULMANS eux-mêmes. Elle chloroforme les uns et les autres, les empêchant de s’interroger sur le virus islamique. Les Occidentaux devraient prendre conscience du péril qui les menace depuis longtemps. Et les musulmans devraient ouvrir les yeux sur leur religion qui les enferme dans ses contradictions et ses violences. Nous les entretenons dans l’illusion de « la meilleure des religions » (Sour. 3,110), sans qu’ils aient à s’interroger sur celle-ci — ni à chercher la vérité ailleurs.
Le Pape François : « Nous déclarons – fermement – que les religions n’incitent jamais à la guerre et ne sollicitent pas des sentiments de haine, d’hostilité, d’extrémisme, ni n’invitent à la violence ou à l’effusion de sang. » (Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune, cosigné par le grand imam d’Al-Azhar, Ahmad Al-Tayyeb en février 2019) (voir ici)
« En tenant ce discours angélique sur l’islam, le pape ne rend service à personne. Il ne rend pas service aux Européens parce que ce discours contribue à endormir la méfiance légitime des Européens vis-à-vis de l’islamisation progressive du continent. Mais il ne rend pas service non plus aux musulmans (…) ceux qui se demandent si leur religion n’a pas effectivement un problème vis-à-vis de la violence. Je trouve malheureux que ce soit l’Eglise catholique, par la voix du pape, qui vienne faire taire ces interrogations… » (source) (et aussi ICI)
Bref, SOUMISSION à l’islam (dhimmitude) ou TRAHISON de nos racines chrétiennes, n’est-ce pas pareil !? D’où le dilemme entre fidélité ou résistance dans notre Église sur ce point.
Reste à RÉPONDRE à l’islam dans l’Église et en Europe (de l’ouest). Les réponses ne manquent pas. Elles supposent la vérité (connaissance de l’islam, de sa violence, de ses mensonges historiques, et de sa nature politique : voir ici). — Puis le droit à la critique (critique condamnée comme ‘islamophobie’ et discours de haine, alors qu’elle n’est pas insulte et blasphème). — Puis la fermeté (expulsion des islamistes et fermeture des mosquées radicales), avec l’application stricte de nos lois. — Enfin le réarmement moral (dignité, valeurs chrétiennes et évangélisation).
Les vrais musulmans ne respectent que la fermeté et la fierté, et ils piétinent ceux qui se couchent devant eux. Les pays d’Europe de l’Est l’ont déjà compris (ici). Ainsi que la Russie de Poutine (ici). Et même les pays comme l’Égypte, qui bannit sans pitié les salafistes. Alors que nos pays gauchistes et droits-de-l’hommistes ne cessent de les caresser, espérant les amadouer. Ce qui les rend méprisables aux yeux des musulmans !
« Il est dans la nature de l’homme d’opprimer ceux qui cèdent, et de respecter ceux qui résistent. » (Thucydide)
« Les laïcistes font le vide ; et les islamistes le remplissent. » (Phil. de Villiers)
« UNE CHOSE est d’établir, lorsque c’est possible, des relations amicales et culturelles avec des personnes de confession musulmane, dans le respect mutuel des identités ; UNE AUTRE CHOSE est de se fourvoyer avec des intentions irréalistes sur des chemins de confusion où la taqqia est à l’affût. » (ab. A. Arbès)
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